Le Demi-marathon de Coaticook attire 450 coureurs

ÉVÉNEMENT. À sa quatrième année, le Demi-marathon de Coaticook a attiré 450 coureurs dans la Vallée. Au-delà des statistiques, l’objectif premier de faire bouger les gens est toujours atteint, aux dires du comité organisateur.

L’événement du 6 août dernier a certes connu une diminution de son taux de participation par rapport aux années précédentes. Selon l’un des membres du comité organisateur, on observe ce phénomène dans bien des événements reliés à la course. «Cette baisse, on la ressent un peu partout dans la région, concède Yves Breton. Toutefois, on se tient quand même avec une moyenne de 500 coureurs par année. Pour une jeune organisation comme la nôtre, je trouve ça très bien.»

«De plus, il ne faut jamais oublier notre objectif de départ, qui est de faire bouger les gens de notre région, rajoute-t-il. Et ça, on l’atteint année après année.»

Tout au long du parcours, plus d’une centaine de bénévoles ont encouragé les nombreux athlètes, soit en les applaudissant ou encore en les rafraîchissant. «Je lève mon chapeau à toute notre équipe de bénévoles, dit M. Breton. C’est grâce à eux si on peut demeurer un événement de qualité.»

Le Demi-marathon de Coaticook célébrera son cinquième anniversaire l’an prochain. Le comité organisateur est déjà à travailler sur cette nouvelle mouture de l’événement, dont on ne connaît pas encore la date exacte.

 

Quelques réactions

«Avec cet événement, on démontre à notre population ainsi qu’à celle des alentours que ça bouge à Coaticook.»

Bertrand Lamoureux, maire de Coaticook

 

«J’aime relever de nouveaux défis et repousser mes limites. L’événement représente aussi une belle célébration de l’activité physique.»

Josée Bélanger, médaillée olympique et participante au 5km avec sa famille

 

«Nous sommes habituées de courir sur du plat, alors le défi des côtes à Coaticook était assez difficile. Mais, le panorama était très beau.»

France Duplessis et Camille Massie, un duo mère-fille de Repentigny

 

«Ces athlètes, ce sont de vraies machines. Je leur lève mon chapeau.»

Ghislain Bertrand, bénévole et éclaireur cycliste