La fragilité d’une artiste, l’inspiration d’une région

COATICOOK. Christine Bolduc a profité de son passage au programme «Artiste en résidence» pour mettre les touches finales à sa production intitulée «Chroniques de la fragilité».

Une bonne nouvelle attendait l’artiste originaire de Trois-Rivières tout juste avant son arrivée dans la Vallée. Une bourse du Regroupement du conte du Québec lui avait alors été accordée, ce qui lui a permis de faire appel à Michel Faubert pour compléter son œuvre. «C’était un brouhaha qu’on a démêlé ensemble, se souvient Mme Boludc qui, aujourd’hui réside à Sherbrooke. Coaticook m’a également inspirée pour sa beauté et l’espace que j’occupais, au troisième étage de la Bibliothèque, qui surplombait la ville.»

La pièce «Chroniques de la fragilité» a récemment été présentée en première dans la Vallée. Son auteure décrit son récit comme contemporain et actuel. «Il va à l’encontre du monde axé sur la performance et de la réussite à n’importe quel prix. Je voulais montrer qu’à l’inverse de cette réussite, il y a des failles. J’avais envie d’explorer cette fragilité. Après tout, elle fait partie de l’être et c’est ce qui nous rend encore plus humain, d’une certaine façon.»

En collaboration avec l’organisme Coatic’Art, l’œuvre a été jouée au Musée Beaulne.« Le conte est un art traditionnel, souvent associé au patrimoine, explique l’artiste pour justifier son choix. Le conte est aussi un art flexible. Il peut être présenté dans une salle de spectacle ou dans n’importe quelle autre pièce, aussi simple soit elle-. J’aime faire une performance dans des lieux insolites et aller vers les gens.»

Christine Bolduc souhaite amener «Chroniques de la fragilité» sur la route avec elle. Outre ce projet, cette étudiante en chant lyrique à l’Université de Sherbrooke a récemment fondé Muses et chimères, l’organisme qui parraine les Matinées de conte à Waterville.

Une bonne nouvelle attendait l’artiste originaire de Trois-Rivières tout juste avant son arrivée dans la Vallée. Une bourse du Regroupement du conte du Québec lui avait alors été accordée, ce qui lui a permis de faire appel à Michel Faubert pour compléter son œuvre. «C’était un brouhaha qu’on a démêlé ensemble, se souvient Mme Boludc qui, aujourd’hui réside à Sherbrooke. Coaticook m’a également inspirée pour sa beauté et l’espace que j’occupais, au troisième étage de la Bibliothèque, qui surplombait la ville.»

La pièce «Chroniques de la fragilité» a récemment été présentée en première dans la Vallée. Son auteure décrit son récit comme contemporain et actuel. «Il va à l’encontre du monde axé sur la performance et de la réussite à n’importe quel prix. Je voulais montrer qu’à l’inverse de cette réussite, il y a des failles. J’avais envie d’explorer cette fragilité. Après tout, elle fait partie de l’être et c’est ce qui nous rend encore plus humain, d’une certaine façon.»

En collaboration avec l’organisme Coatic’Art, l’œuvre a été jouée au Musée Beaulne.« Le conte est un art traditionnel, souvent associé au patrimoine, explique l’artiste pour justifier son choix. Le conte est aussi un art flexible. Il peut être présenté dans une salle de spectacle ou dans n’importe quelle autre pièce, aussi simple soit elle-. J’aime faire une performance dans des lieux insolites et aller vers les gens.»

Christine Bolduc souhaite amener «Chroniques de la fragilité» sur la route avec elle. Outre ce projet, cette étudiante en chant lyrique à l’Université de Sherbrooke a récemment fondé Muses et chimères, l’organisme qui parraine les Matinées de conte à Waterville.