200 jeunes prennent part à un tournoi de basketball au parc Laurence à Coaticook
COATICOOK. Les organisateurs du premier Tournoi interscolaire de basketball peuvent dire mission accomplie. Près de 200 élèves ont envahi les installations du parc Laurence, mardi dernier (18 juin), pour faire de l’événement un réel succès.
« Ç’a été une très belle journée. On s’en souviendra longtemps, tant chez nos jeunes sportifs que pour nous, les organisateurs », confie l’enseignant en éducation physique et initiateur du projet, Charles Veilleux.
Les équipes des écoles primaires de Dixville et de Sainte-Edwidge-de-Clifton ont remporté les grands honneurs de l’événement avec des fiches identiques de quatre victoires et une nulle. Les autres formations de l’école Sacré-Cœur et de l’école Louis-Saint-Laurent de Compton complètent le classement.
L’idée de créer un happening autour du basketball trottait dans la tête de M. Veilleux depuis quelque temps déjà. « Je voulais offrir l’opportunité de faire découvrir ce sport à nos jeunes, un peu comme ce que Louis-Georges [Perron] a fait avec la ligue de hockey scolaire. J’ai lancé l’idée à mon directeur et il a tout de suite embarqué. Sainte-Edwidge, Sacré-Cœur et Compton ont ensuite suivi. »
« Pour notre part, on s’entraîne chaque semaine depuis le mois d’octobre, poursuit celui qui enseigne à l’école primaire Sancta-Maria. On a augmenté la cadence à deux rencontres à l’approche de l’événement. »
LA CHALEUR AU RENDEZ-VOUS
Même si la chaleur était plutôt accablante la journée du tournoi, les jeunes semblaient en faire fi. « On a eu une belle collaboration avec la Ville [de Coaticook]. Ils ont ouvert les jeux d’eau ainsi que la piscine municipale. Les employés ont aussi installé des gicleurs pour que les jeunes puissent se rafraîchir. On a bu de l’eau en quantité suffisante et tout le monde a passé une belle journée », explique l’organisateur.
Vu le succès remporté par l’événement, une seconde édition est à prévoir au calendrier l’an prochain. « On travaille déjà là-dessus. Notre but, c’est que ça devienne une grande fête annuelle. On aimerait également que d’autres écoles se joignent à l’initiative », conclut Charles Veilleux.