Vivre à Waterville: la mairesse Nathalie Dupuis croit au potentiel de croissance de sa municipalité

WATERVILLE. Accueillante et authentique. Voilà les deux mots qui traversent l’esprit de la mairesse de Waterville, Nathalie Dupuis, lorsqu’on lui demande de décrire la municipalité qu’elle dirige. 

« Il y a tellement de chaleur humaine ici, lance l’élue. Waterville est authentique et accueillante. Elle a également tout pour charmer les petites familles qui se cherchent un nouvel endroit pour habiter. »

« Peu importe où tu vas, les gens sont toujours prêts à t’offrir un conseil, à te guider vers les personnes qui seraient aptes à te dépanner, poursuit-elle. Des belles gangs comme celles de la bibliothèque ou encore du Centre communautaire organisent aussi de plus en plus d’événements. C’est une belle façon de s’intégrer. » 

Les nombreux services de même que la proximité d’un grand centre, soit celui de Sherbrooke, font aussi partie des nombreux avantages de demeurer à Waterville. 

Côté municipal, il ne manque certainement pas de projets. La réfection complète du parc Huntingville est au programme cet été. Des travaux de plus de 245 000 $ ont récemment été annoncés. « On donnera un coup de jeunesse à cet endroit qui en avait franchement besoin, confie Mme Dupuis. Ça devrait créer un effet wow une fois qu’on aura terminé. »

Acquise par la Municipalité il y a quelques années, l’ancienne église catholique sera bientôt transformée en centre multifonctionnel. « Nous sommes présentement à l’étape des plans », précise la première magistrate.

L’hiver dernier, Waterville a lancé une nouvelle phase de son projet de développement domiciliaire du Domaine Champêtre. Il ne reste qu’un seul terrain à vendre. Au final, la petite municipalité devrait accueillir 75 nouvelles portes. « Et il y a encore de la place pour grandir, raconte Nathalie Dupuis. Nous avons délimité certaines zones à notre plan d’aménagement, mais elles ne sont pas nécessairement limitrophes à notre noyau urbain. Ça causera peut-être certains enjeux, notamment ceux reliés à la capacité de notre usine de traitement des eaux. On est en train de faire une étude pour connaître la capacité de notre réseau et, surtout, pour trouver les moyens pour trouver des solutions. Selon les premières analyses, on aurait besoin de pompes plus puissantes, ce qui ne devrait pas gêner nos ambitions. »