Meubles Gober renouvelle sa gamme pour ses 25 ans

Pour souligner son 25e anniversaire, l’entreprise Meubles Gober a dévoilé un nouveau catalogue de ses produits, le plus complet de son histoire, aux dires de ses dirigeants.

Ce nouvel outil a été dévoilé aux partenaires lors d’une soirée tenue au Pavillon des arts et de la culture de Coaticook, le 24 octobre dernier. Lors de l’événement, le président de Meubles Gober, Richard Bérubé, a fait un petit retour en arrière afin d’expliquer les origines de l’entreprise. «À nos débuts, on ne savait pas trop où s’établir, a-t-il mentionné. C’est le maire de l’époque, André Langevin, qui nous a poussés vers ce nouveau développement, sur l’avenue de la Gravière. Nous avons été les premiers à y être et, 25 ans plus tard, nous y sommes encore.»

Fondé en 1988, Meubles Gober a connu des débuts pour le moins difficiles. «Nous étions frappé par une récession, explique M. Bérubé. La fabrication de meubles en série n’était pas un secteur en croissance à ce moment. Il a fallu faire preuve d’imagination pour s’en sortir. Nous avons donc misé sur le sur mesure et la sous-traitance.»

Il y a neuf ans, l’entreprise se repositionne sur le marché en se spécialisant sur les portes d’armoire. Cette spécialité lui permet de garnir son carnet de commandes, livrant ainsi ses produits un peu partout au Québec, à New York ainsi qu’au Connecticut.

À l’heure actuelle, Meubles Gober emploie près de 90 travailleurs. Les dirigeants de l’entreprise entrevoient l’avenir avec optimisme. «Au cours des prochaines années, on veut investir pour l’achat de nouveaux équipements. On veut robotiser certaines lignes afin de suffire à la demande.»

Pour en revenir à la soirée du 24 octobre, plus d’une trentaine d’invités ont participé au dévoilement du nouveau catalogue, ce qui laisse les dirigeants très fiers. «Meubles Gober, ce n’est pas juste l’affaire d’une seule personne. Si on n’avait pas nos fidèles employés, il n’y aurait pas de nouveau catalogue. Nos travailleurs ont à cœur le succès de notre entreprise», conclut Richard Bérubé.