L’Expo Vallée a trouvé sa nouvelle coordonnatrice

ÉVÉNEMENT. L’Expo Vallée de la Coaticook a enfin trouvé sa nouvelle coordonnatrice. Après des mois de recherches, l’équipe du rendez-vous agricole estival a fait confiance à Virginie Turcotte-Côté.

Pour la principale intéressée, il s’agit d’un match parfait. «L’agriculture est un domaine très important pour moi. Ça fait partie de mes racines, de mes valeurs. J’ai été élevée sur une terre agricole, du côté de Bury, et j’ai travaillé avec ma sœur, qui est agronome, au Club agroenvironnemental de l’Estrie», raconte celle qui trouvait le poste fort intéressant lorsqu’elle a soumis sa candidature.

Bien évidemment, au cours des premières semaines, elle se familiarisera avec son nouveau milieu. Elle a aussi bien hâte d’apporter ses propres idées pour faire grandir l’Expo. «Heureusement, j’ai un conseil d’administration qui m’aide beaucoup et qui est toujours disponible. Pour l’instant, je partage la vision de mes collègues de faire grandir l’événement. On veut toujours attirer les gens de l’extérieur, en plus de fidéliser nos visiteurs de la région. C’est un grand défi pour assurer l’avenir de l’Expo», explique Mme Turcotte-Côté.

La 38e Expo Vallée de la Coaticook se tiendra du 6 au 9 août prochain. La nouvelle coordonnatrice a dévoilé un avant-goût de ce qui attend les festivaliers cet été. «Notre grande nouveauté, c’est la tenue d’un gymkhana. Il s’agit de compétitions d’agilité professionnelles pour les chevaux et les cavaliers. Nous devrons aussi faire un nouveau manège pour les accueillir. Il y aura aussi des nouveaux concours d’adresse pour les pelles mécaniques.» Un salon sur l’agriculture, où le bien-être des animaux sera mis de l’avant, est également prévu pour la prochaine édition.

Les dirigeants du rendez-vous agricole espèrent une fois de plus franchir la barre des 10 000 visiteurs en 2015. Quant à l’éternelle question du choix du site, la coordonnatrice se range derrière celui du CRIFA plutôt qu’au centre-ville. «Je pense que c’est l’endroit parfait. De plus, nous avons encore beaucoup d’espace si, un jour, nous sommes appelés à grandir», conclut Virginie Turcotte-Côté.