Le député Hardy incertain quant à son avenir politique

SAINT-FRANÇOIS. Le député de Saint-François, Guy Hardy, ignore encore s’il se représentera pour un second mandat, lors du prochain scrutin provincial prévu au printemps 2018.

Après deux années et demie en poste, celui qui a remporté le comté en avril 2014 dit être en réflexion. «Je trouve qu’il est un peu trop de bonne heure pour faire connaître mes intentions, lance-t-il. Je le ferai en temps voulu. Entre temps, je vais continuer de bien représenter les citoyens [de ma circonscription] et prendre des décisions qui amélioreront leur qualité de vie.»

Aux yeux du député de Saint-François, l’année 2016 «s’est très bien passée». Lors de son bilan annuel, Guy Hardy a indiqué avoir travaillé de concert avec le ministère des Transports afin de bonifier l’aide financière injectée dans la réfection du réseau routier de la Vallée. Il a également noté le support de son gouvernement dans différents dossiers, dont ceux du Récré-O-Parc, du magasin général de Dixville, du sentier de marche à East Hereford ainsi que du Centre sportif de l’école secondaire La Frontalière.

D’importants ministres ont également visité la région de Coaticook au cours des 12 derniers mois, dont Julie Boulet (Tourisme), Martin Coiteux (Affaires municipales) et Luc Fortin (Culture).

En santé, M. Hardy a participé à l’annonce de trois projets en santé. Le centre mère-enfant ainsi que la nouvelle urgence du site de Fleurimont, le laboratoire de simulation clinique de la Faculté de médecine et de l’Université de Sherbrooke, de même que la création d’une super-clinique du côté de l’arrondissement Fleurimont ont fait partie de cette liste.

«Disons qu’en 2016, ç’a été très occupé dans Saint-François», résume le député Hardy.