La Chambre de commerce de Coaticook grandit

ÉCONOMIE. Grâce à un partenariat avec la Caisse Desjardins des Verts-Sommets de l’Estrie, la Chambre de commerce et d’industrie de la région de Coaticook (CCIRC) ajoute une nouvelle ressource à son équipe. L’organisme économique accueille donc en ses rangs Marianne Dandurand. Entrée en fonction le mois dernier, elle occupera des fonctions reliées à la coordination des activités ainsi qu’à celles d’adjointe administrative. Cela permettra d’enlever certaines tâches au directeur général de la Chambre de commerce, Roger Garceau, afin qu’il se concentre au développement de nouvelles activités, mais aussi au recrutement de nouveaux membres. D’ailleurs, sous sa gouverne l’an dernier, plus d’une vingtaine d’entreprises ont rejoint le regroupement. La présidente de la CCIRC, Caroline Thibeault, se réjouit de la nouvelle. «On double notre capacité d’offrir des services à nos membres, précise-t-elle. On travaillera beaucoup sur notre membership. La Chambre a toujours été très forte à Coaticook, mais on est un organisme régional. Notre but est d’aller chercher des membres partout dans la MRC afin de créer une région où régnera l’harmonie et la solidarité entre les douze municipalités, tout en créant de la richesse au niveau local.» Coup de pouce de la Caisse Cette initiative a reçu l’appui de la Caisse Desjardins des Verts-Sommets de l’Estrie. La coopérative financière a conclu un partenariat pour un montant de 39 000 $, à raison de 13 000 $ pour les trois prochaines années. «Il est important pour une région telle que la nôtre d’avoir une chambre de commerce active et présente dans son milieu puisqu’elle contribue au développement économique de la région. Les résidents et la communauté d’affaires bénéficient tous de la vitalité qui est générée grâce à sa présence», estime le directeur général de cette caisse, Pierre Langevin. La Chambre de commerce et d’industrie de la région de Coaticook souhaite que l’initiative fasse boule de neige et qu’avec l’ajout de nouveaux membres au fil du temps et qu’elle puisse autofinancer cette nouvelle ressource.