La popularité de la Fête régionale de la famille de Coaticook ne se dément pas

COATICOOK. La Fête régionale de la famille de la MRC de Coaticook a été des plus courues cette année. L’événement, qui s’est déroulé dimanche dernier (1er décembre), a attiré pas moins de 260 familles à l’école secondaire La Frontalière.

Selon les statistiques comptabilisées par les organisateurs, on parle d’une trentaine de familles de plus qui ont participé au rendez-vous comparativement à l’an dernier. On peut donc parler d’un succès sur toute la ligne, avance la coordonnatrice de la fête et agente de développement rural à la MRC de Coaticook, Sara Favreau-Perreault.

Bien des éléments font partie de la recette du succès de cet événement. «Bien sûr,  ce sera toujours alléchant de pouvoir gagner des prix en argent, reconnaît Mme Favreau-Perreault. Il y a aussi toutes les activités sur place, que ce soit le maquillage, les jeux gonflables ou encore la rencontre avec le père Noël. Les parents aiment aussi des occasions de rencontrer et de présenter leurs nouveaux bébés.»

Comme chaque année, des livres ont été offerts à tous les enfants, question de stimuler l’éveil à la lecture ainsi qu’à l’écriture. Tout près de 12 000 $ ont aussi été offerts en tirages. «Les montants ont été distribués sous forme de chèques-cadeaux de Rues principales afin d’encourager l’achat local», note la coordonnatrice de la fête.

L’événement sera de retour pour une 30e année en 2020.

Un virage vert

Comme bien des événements dans la région, la Fête régionale de la famille de la MRC de Coaticook a pris un virage vert cette année.

D’abord, les organisateurs ont demandé à ce que les participants amènent leur propre bouteille réutilisable, puisqu’aucune bouteille d’eau de plastique n’a été distribuée cette année.

De plus, plusieurs aliments ont été servis en vrac lors du goûter servi aux visiteurs. «C’est le cas du fromage en grains, cite en exemple la coordonnatrice de projet associé aux matières résiduelles à la MRC de Coaticook, Monique Clément. Par le passé, on donnait des petits sacs. Là, on a acheté en vrac et quelqu’un fait le service. C’est avec de petits gestes comme celui-ci qu’on peut faire notre part pour l’environnement.»