Un parcours exceptionnel à La Frontalière pour Loïc, Léa, Véronique, Alexandra et Rozalie

ÉDUCATION. Le parcours secondaire se termine en beauté pour Loïc Lavoie, Véronique Boisvert, Alexandra Arsenault, Léa Morin-Borduas et Rozalie Gaudreau. Ces cinq élèves ont remporté les grands honneurs du Gala méritas de l’école secondaire La Frontalière.

Récipiendaires des prix «Excellence» féminin et masculin, Léa Morin-Borduas et Loïc Lavoie ont tous deux apprécié d’avoir été couronnés lors de l’événement, présenté le 5 juin dernier. «Je pensais que c’était seulement un prix remis pour ceux qui avaient d’excellentes notes, alors lorsque j’ai compris qu’on décrivait mon implication à l’école, j’ai été très surprise», raconte la présidente du conseil des élèves et celle qu’on a pu voir à la Soirée artistique.

De son côté, Loïc compare l’honneur qu’il a reçu à un «prix de haut niveau». Celui qui se décrit comme «un petit peu plus discret» a notamment participé au démarrage de la Coop étudiante et au Café Tandem.

Pour avoir maintenu une moyenne générale de 92,75 % tout au long de son secondaire, Alexandra Arsenault s’est mérité la médaille du gouverneur général du Canada. «Ça vient récompenser tous les efforts que j’ai mis durant mes cinq années à La Frontalière», décrit celle qui souhaite poursuivre ses études en santé afin d’œuvrer dans le secteur de la médecine plus tard.

Sa collègue Rozalie Gaudreau a quant à elle reçu le prix du Lieutenant-gouverneur du Québec. Cet honneur souligne tout l’engagement de cette sportive, qui s’est illustrée en natation, ainsi qu’au conseil des élèves et à la Soirée artistique.

Le prix «Engagement à la réussite» a été remis à Véronique Boisvert. «J’ai fait deux années en une grâce au programme PÉP. J’avançais bien et ça me permettait aussi d’aider les autres dans leurs études», explique celle qui a reçu une tablette avec son prix.

Un tas de souvenirs

Tous finissants de La Frontalière, les cinq élèves n’ont que de bons souvenirs de leur passage à la polyvalente de Coaticook. «Ici, c’est comme une famille, lance Loïc. Je me suis bien entendu avec les profs et j’aimais organiser des activités, comme celles du Club de course. Quand Joanne [Maheu] ne pouvait y être, elle me confiait les rênes du groupe pour que je gère l’activité.»

«Ce qui m’a marqué ici, c’est la diversité des parcours qui nous étaient offerts. Tu pouvais autant faire du sport, des arts ou de la musique, tout en t’impliquant dans plein de comités. La Soirée artistique me manquera aussi grandement», poursuit Rozalie.

Quant à Léa, elle s’ennuiera de ses amis. «Au cégep, on sera pas mal tous séparés. L’esprit de famille était quelque chose que j’appréciais ici», conclut-elle.