Intervention policière sur la rue Main à Coaticook

Le propriétaire du Bar Chez Slim de Coaticook, Jocelyn Inkel, et quelques-uns de ses fidèles clients, ont eu de la bien désagréable visite dans l’après-midi de mercredi (1er avril) alors qu’un type a proféré des menaces à leur endroit avec un couteau en main. Et ce n’était pas un… «poisson d’avril…»

Selon Jocelyn Inkel, le type était manifestement sous l’effet de substances illicites ou affecté par des problèmes psychiatriques puisqu’il ne semblait aucunement en possession de ses moyens. «C’est sûr que j’ai resté figé quand il a sorti son couteau, mais je n’ai pas vraiment eu peur qu’il l’utilise. Il nous a tous menacé un après l’autre», raconte Jocelyn Inkel.

Quelques minutes plus tard, le type a fait l’objet d’une arrestation spectaculaire sur la rue Main, en face du concessionnaire Maurais Auto. Deux policiers de la Sûreté du Québec ont rapidement maîtrisé l’individu, lui ont enfilé les menottes et l’on couché au sol en attendant des renforts. La scène a évidemment attiré l’attentions des automobilistes et piétons qui circulaient par là. Les policiers ont retenu l’individu au sol, en pleine rue, durant quelques minutes, le temps qu’une ambulance se pointe sur les lieux. Celui-ci aurait d’abord été dirigé vers l’hôpital pour des soins psychiatriques.

Il devait comparaître en cour dans la journée de jeudi (2 avril).

Perquisition

Par ailleurs, douze policiers du Bureau régional des enquêtes et de la Sûreté du Québec de Coaticook ont procédé à une perquisition de cocaïne, mercredi, à Coaticook.

Un des deux individus arrêtés devait d’ailleurs comparaître en cour dans la journée de jeudi (2 avril).

À St-Malo

Il n’y a pas qu’Émilie Lévesque qui attire l’attention à St-Malo. Un individu affecté par des problèmes psychiatriques a tenu les policiers de la Sûreté du Québec en haleine, samedi dernier (28 mars), dans une résidence de l’endroit. Le type aurait menacé un membre de la famille et a causé des méfaits.

Sachant qu’il possédait des armes à feu à l’intérieur et qu’il refusait de sortir de la maison, la S.Q. a cru pertinent de faire appel au Groupe Tactique d’Intervention (GTI) et d’un maître-chien. L’homme s’est finalement rendu aux policiers sans opposer de résistance.