Les sportifs découvriront leur nouveau gymnase en janvier

FRONTALIÈRE. Il y a une certaine fébrilité dans l’air chez les jeunes sportifs de la Vallée. Ces derniers ont très hâte de découvrir le nouveau gymnase de l’école secondaire La Frontalière. Ils devront cependant attendre à janvier prochain pour y mettre les pieds.

Aux dires du directeur général de la Commission scolaire des Hauts-Cantons, Martial Gaudreau, le projet avance rondement, malgré un léger retard de deux semaines sur l’échéancier fixé au début des travaux. «C’est largement dû aux pluies du 9 juin dernier et à la température difficile que nous avons eue cet été. On est quand même satisfait, car, deux semaines, c’est très peu sur un chantier de cette envergure.»

Les travaux de structure du nouveau gymnase sont présentement complétés. Au cours des prochains jours, les travailleurs s’attarderont à la toiture ainsi qu’aux murs de béton.

Au total, le projet est évalué à 3,5 millions de dollars. On entrevoit des dépassements de coût de l’ordre de 18 000 $. «C’est vraiment minime, estime M. Gaudreau. Tout ça est attribuable à la pluie qui a endommagé certains de nos matériaux. On a également trouvé un puisard pluvial, qui était enfoui sous le bâtiment précédent. Il a fallu remplir tout ça.»

Les gens sont en effet très enthousiastes à l’idée de pratiquer leur activité sportive préférée à l’intérieur du nouveau gymnase. Acti-Sports dévoilera sa nouvelle programmation pour l’hiver prochain.

La nouvelle structure comprend bien évidemment un grand gymnase de la grandeur d’un terrain de soccer. La Commission scolaire a fait l’achat d’un rideau séparateur pour diviser l’espace en deux terrains distincts. Chacun des terrains aura son tableau indicateur et ses estrades. Ainsi, La Frontalière pourra accueillir des tournois d’envergure. Notons également que les vestiaires ont été rénovés.

Les dirigeants de la CSHC ont confiance de livrer la marchandise pour le début de janvier prochain. «On entre bientôt dans les travaux intérieurs. Il y aura donc moins de chances d’avoir des retards», note Martial Gaudreau.